"S*© 87 .25-^
quoi qu'elles reçoivent de moi des rétributions annuelles pour les services'qu'elles me rendent; ainsi je n'entends pas qu'elles' puissent rien pré­tendre dans le legs de rentes viagères que j'ai'ci­devant fait à mes domestiques qui seraient à mon service lors de mon décès.'
Je. donne et lègue à M"0'- Perrin, femme de chambre de Mme la comtesse Emilie de Belzunce, chanoinesse d'Argentières, 260 livres de pension exempte de toutes retenues présentes et futures, pour en jouir tant qu'elle restera au service de ma­dite petite-fille et que celle-ci continuera d'en être contente, n'entendant point que cette marque d'affection de ma part puisse la faire négliger de plaire à sa maîtresse ni obliger ma petite-fille'à la garder contre sa volonté. Je m'entends point non plus que cette pension diminue les gages sous la condition desquels elle est entrée auprès . de sa maîtresse, ni lui en tienne lieu eh tout ou partie.
.<->'-.■ Rousseau s'est vengé de lui en le peignant tel qu'il était, c'est-à-dire comme un personnage au cœur sec, bouffi de vanité, pédant et singulièrement antipathique. Grimm lo­geait rue de la Chaussée-d'A'ntin, dans l'hôtel de M™- d'E­pinay, et y occupait uri appartement du prix de 1,700 livres soldé par la cour qu'il représentait à Paris. •